Derrière le professionnel excellent galeriste passionné et surdoué il y a l’homme courageux, impliqué et humain tant apprécié

Plus de 25 ans d’exaltation quotidienne pour ce galeriste visionnaire à l’œil pointu qui fait fi de ses connaissances encyclopédiques au profit de sa seule intuition pour choisir celui ou celle qui en son temps est devenu ou deviendra une signature

Son objectif a toujours été la réalisation d’une exposition tournante d’œuvres choisies, critique oblige où il a présenté des artistes internationaux et des signatures mais surtout ses protégés Martello, A. Ménékratis, Gianangelli l’ami de Picasso d’Hartung de Brasilier… dont il fut le mécène pendant plus de 17 années.

Athena Menekratis

Après avoir été formée en Art & Design à Londres, Athéna Ménékratis, épouse du galeriste et mécène Johnny Guépin, dirigeant la Galerie Arista à Cannes une des principales galeries de la Côte d’Azur et cousine de la célèbre galeriste et conservatrice d’art Iris Clert, a choisi de s’inspirer des figures iconiques pour s’exprimer à travers un art du portrait dans un style unique.

« Le travail artistique est basé sur un concept fort communiqué visuellement et spirituellement par l’idée que l’histoire de chacun est écrite dans les traits de son visage.

Les portraits de cette artiste confirment concrètement cela avant tout dans un geste symbolique avec poésie et presque humour aussi, dans ses calligraphies qui démontrent une originalité, une technicité et une identité artistique.

La poésie de ces portraits consiste à faire naître son sujet par un jeu de lumière avec les écritures qui ont un rapport évident avec le sujet représenté. Le réalisme de la technique se confronte à un jeu d’optique et chaque portrait est une pièce unique.

Pour cette native de Cannes, la ville du cinéma, c’est aussi un hommage au Festival du Film que de faire référence entre autres au thème de l’imagerie cinématographique des années 30 et à l’humeur des films noirs.

Une collection de dessin sur la profondeur du noir est née de ce thème.
Le fond noir uni donne une nouvelle dimension au portrait, celle d’un univers d’une profondeur intense d’où se dégage une atmosphère captivante comme un écho au mystère et à l’infini.
Le clair obscur est redéfini, la lumière sort de l’ombre et non l’inverse.

Visuellement puissantes par l’imagerie mais aussi par l’idée et la signification qu’elles symbolisent. »

J. Guépin – Galerie Arista